2010 année de ... ?
Je n'écris pas car pour moi, 2010 commence tout comme c'est terminée 2009.
Pas de travail, pas d'indépendance, pas de nouvelle relation, pas de motivation.
J'ai l'impression de tout miser sur un nouveau travail. Je m'imagine que c'est la clé. Qui dit nouveau travail dit nouvelle ambition, motivation, nouveau rythme de vie. Dit alors économies, puis déménagement. Dira alors indépendance, créer son "chez soi", se rapprocher de la ville, reconstruire son réseau d'anciens amis. S'éloigner de ceux présents mais qui me rappellent que je ne suis que le chiffre impair de nos rencontres.... pour mieux les retrouver ensuite. Dira alors plus tard nouvelles relations, amicales, peut être amoureuses?
Mais en attendant, rien de tout ça ne pourra se réaliser. Alors je guette dès qu'une nouvelle annonce correspondant à mes critères sort sur la toile, je postule, j'ai une réponse sur 20. J'ai tout de même été contactée avant les fêtes, j'ai passé 3 entretiens, et fait parti des 2 sélectionnées sur 18 candidats (petite fierté personnelle). Mais le CDI a été proposé à la deuxième, et on m'a proposé une AFPR de 3 mois, ce que je considère comme une arnaque, et qui ne me permet pas de réaliser mes beaux rêves du dessus. J'ai refusé.
Je me tâte à partir de ma province pour postuler en région parisienne. J'ai l'impression qu'il y a beaucoup plus de travail. Après à voir, est ce que je suis prête à tout quitter ? Question existentielle du moment.
Concernant les "amours" , parce que au final, c'est ce qu'on me dit toujours : "Et les amours ?" : Question qui me donne envie de vomir. Rien, rien, rien. Pas de prince charmant en vue, ni d'aventure en vue d'ailleurs. Je suis toujours dans un mode de désespoir à trouver quelqu'un qui voudra de moi. Je ne cherche pas de toute façon. J'ai encore dans l'idée que je dois être trop exigeante, plus aussi attirante, ou blasée par des exs relations. Je suis un cas désespéré et incompréhensible d'après mes amis. Je les remercie pour cette description :) .
Voilà les nouvelles, j'ai plutôt l'impression d'écrire une lettre à une vieille amie plutôt que d'écrire pour écrire. Enfin, je me comprend. Moi, moi, moi. J'évite de me plaindre en société, alors ici, ce soir, cette nuit, se sont les plaintes de Lieeeeee.